Le virus « Trop-Bien 22 » est une pandémie d’une maladie de langage infectieuse émergente. Elle apparaît le 16 janvier 2022 en France et semble être une déclinaison du virus « Great » qui lui même avait muté en « Amazing »
Mais comment est apparu ce virus ?
Il semblerait qu’un laboratoire américain ait délibérément laissé échapper le virus que l’on a retrouvé très vite à la télé, dans des séries, dans des voyages de classe. Il circulait dans des sacs à dos mais aussi dans des containers à Vidéo, le plus connu étant ta tube mais d’autres réseaux comme face de livre. Ceux-ci ont largement contribué à sa diffusion.
Aujourd’hui, on en est où ?
Le vaccin pour lutter contre le virus « Trop Bien 22 » n’a pas fait que des euros. Il a sévèrement séparé la société, tout le monde se méfie du complot de l’autre, tout en disant de manière cynique trop bien, on ne sait plus trop comment l’interpréter.
Dans les faits, les gens ne font plus attention, ils se relâchent. On a arrêté le port du bâillon et la pandémie repart trop bien. Au point que certains se permettent d’utiliser une vieille expression « ça passe crème » pour définir le virus.
Si vous avez contracté un « trop bien » trop long, du genre trop biennnnng dans ce cas nous sommes dans l’obligation de vous rapatrier dans le sud voire en Provence.
Ami.e.s de la langue Française
Une langue aujourd’hui ne suffit plus, je vous souhaite de contracter le virus et ses mutants afin de coller à vos contemporains.
Askip pour avoir le seum et ne pas être en Pls, faut choisir la bonne méthode !
Dans l’univers de la créativité business, vous imaginez bien qu’il n’y a pas de limite et que souvent ce sont les idées les plus saugrenues qui remportent la mise.
La semaine dernière, j’étais en pleine réflexion sur l’avenir de l’homme, je parle de l’homme avec un zizi et j’en suis venu à l’évidence que nous ne servions plus à grand-chose.
Papa qui doit ramener un gros salaire, papa qui répare la machine à laver, papa qui bricole dans le garage, papa qui regarde le match de foot et qui demande amoureusement une bière à maman, papa qui parle de politique à table, papa qui reçoit ses amis, papa qu’on voit uniquement en vacances et papa qui engueule maman avant que papa fasse l’amour à maman pour se faire pardonner… Ça c’est le passé !
La cryopréservation permet de conserver les propriétés biologiques des cellules par le froid pendant des siècles. Nous pourrions ainsi nous passer complètement de l’homme ou peut-être en garder quelques-uns? Un peu comme le principe d’un poulailler, un coq pour 10 poules, celui-ci pourrait avoir un rôle utilitaire ou juste de représentation.
La technologie Blockchain, grâce à un NFT, nous permet de tracer un mâle sur plusieurs générations. Car même si on travaille un bon eugénisme nous ne sommes pas certains de la pureté de la race mâle sur plusieurs générations. Il arrive que le mal se retrouve dans le mâle même si il a été écarté de son génome.
Je ne suis pas ici pour faire de la politique du genre mais je ne suis pas indifférent au bruit des billets qui crépitent derrière cette décrépitude !
Mon projet, créer une banque du sperme en accord avec notre société, en partant de vos besoins, un concept que je nomme le sperm centric.
L’adoption d’un mode de répartition des natalités utilisant la notion sperm centric pourrait peut être répondre à un des grands problèmes de l’humanité, l’égalité des sexes.
Afin d’étoffer mon business plan, quels sont pour vous les critères / qualités indispensables des hommes pour les générations futures ?
Merci mes ami.e.s, vive la coopération homme / femme et que dieu vous garde !
Après un été chaud, très chaud qui n’a pas finalement fait cramer le sud mais qui a franchement fait flipper l’Ouest. On notera que le camping installé au pied du site classé de la dune du Pilat, celui du footballeur Valbuena n’est pas dans les clous depuis des années. Comme la canicule et les feux, on voit bien que le spirit (état d’esprit) sudiste remonte vers l’Ouest.
La carte des futures catastrophes climatiques n’est pas définitive et donc, la roue de la fortune immobilière n’a pas encore défini qui vivra riche avec de l’eau au frais et qui se fera rôtir les fesses dans la misère.
Parlons de l’ouest, enfin des Western Countries (pays de l’ouest). Nous les grands du capitalisme, les bienfaiteurs de l’humanité, on a envoyé 84 milliards d’euros à l’Ukraine, pour le moment on ne connait pas le montant du détournement (quand on donne 10 il reste souvent 1) mais on sait qu’il faudra 750 milliards pour reconstruire l’Ukraine, c’est ce qu’on appelle un gros Marché. Business is business, même les allemands ils achètent des avions Américains. C’est ça l’Europe de l’WEST, les gentils font le bien et les biffetons coulent à flot 😉
On devait aussi botter le cul à Poutine, c’est finalement lui qui nous coupe la chique et le gaz. Les dernières recommandations du gouvernement pour passer l’hiver au chaud : « dormez à plusieurs, si vous vivez seul, invitez un Ukrainien ou un migrant c’est utile et ça réchauffe ».
J’oubliais le COVID, on nous bassine depuis 2 ans sur les dangers, les problèmes de lit etc et là par magie, cet été, rien. Oui rien ! Pourtant on a mélangé tous les COVID d’Europe et du monde, une sorte de grande partouze virale planétaire et on a rien dit, rien vu, rien entendu. Vous savez pourquoi ? On ne peut pas tout faire en même temps, en ce moment le coeur du FLIP se concentre sur 2 sujets : la guerre, ou comment on aide nos voisins de l’est à ne pas avoir d’inflation dans notre pays (vous noterez l’étrangeté de cette phrase) Et le plus gros sujet, le réchauffement climatique.
C’est scandaleux de voir un programme éditorial médiatique et politique qui se fait en fonction de lahiérarchie des peurs, en ce moment ce qui fait plus peur que le COVID et la GUERRE et bien c’est le CLIMAT.
C’est donc une arnaque, une mascarade, un sans gêne de manipulation. Je ne suis pas du tout climato-sceptique, il est certain que nous coulons à vitesse grand V notre superbe planète mais cette manière de se servir de l’urgence pour faire de l’audience est abjecte.
Du coup pour faire du clic, de la vue, du pognon, on est prêt à tout. C’est parti pour un reportage catastrophique de « Brut »sur les Gorges du Verdon. Et ben merci la journaliste grâce à vous en plus des problèmes climatiques on y ajoute un problème économique. Les habitants l’attendent de pied ferme pour sonderl’eau du lac.
Revenons sur terre, à des sujets qui nous touchent plus, tout le monde maintenant réfléchis à 2 fois avant de prendre sa voiture, à 2 euros le litre quand on prend sa caisse on fait du co-voiturage. Le problème, pour faire plaisir aux passagers tu mets la clim. Mais là c’est la double peine, tu pourris la planète et tu exploses ta marge. Je conseille de faire la promotion des itinéraires hors péage en mode cheveux au vent.
Le travail, on a du mal à savoir si on vit pour travailler ou on travaille pour vivre. Après avoir saboter le bon sens du « on produit ce qu’on consomme en essayant de le faire au mieux ». La société s’étonne que plus beaucoup d’entre nous ne trouve de motivation à aller au turbin.
Les rencontres dans la rue, si tu lèves les yeux, tu remarqueras que personne ne te regarde, ah bon ! Et oui, merci le smartphone couplé aux réseaux sociaux, tu as beaucoup d’amis et d’amour en ligne mais ça va être plus dur de conclure dans la rue. Quand tu dis bonjour à quelqu’un, tu gènes la personne qui est entrain de faire un match sur Tinder, tu gènes la personne qui fait son selfie ou qui fait défiler pour la 5eme fois toute sa timeline Insta ou TikTok…
Ne soyons pas trop cynique et profitons de cette belle rentrée des classes pour souhaiter à nos enfants de bien s’instruire et faisons confiance à l’éducation nationale pour former l’élite de demain. Car franchement, il va y avoir du boulot pour faire évoluer cette humanité 😉
Quelques recettes pour se nourrir sans aigreur.
On a qu’une vie, il faut vivre chaque seconde.
Toutes les envies sont bonnes
Consomme moins et tu seras écolo
Coupe la TV, la radio et pense à toute les années où tu as payé la redevance
Pendant 40 ans le hacking a été réservé à une élite d’ingénieurs. Dans les années 80 le hack d’une imprimante signe l’avènement du logiciel libre, des pirates informatiques, et aussi de la démocratisation du piratage en tous genres (streaming, licence etc ).
Pour être hackeur, il faut répondre au moins à 3 critères, le premier être curieux, le deuxième aimer ouvrir des endroits inconnus enfin et surtout croire aux modèles décentralisés c’est-à-dire des structures autonomes et horizontales comme le peer to peer, la blockchain, internet hors GAFAM etc…
Entre 2000 et 2010 la culture hacking s’est démocratisée. Tout le monde bidouille et la bidouille sort au fur et à mesure de l’informatique pour se propager dans tous les pans de la société (bricolage, biologie, marketing)
Au-delà de la bidouille le hackeur est un hacktiviste, il participe et intervient dans les conflits et aide les peuples opprimés à retrouver leurs libertés, l’exemple du printemps arabe avec Telecomix, Anonymous. Le hack est partout. Le hackeur n’est plus un méchant canard, il faut le rencontrer, l’inviter, le chouchouter… On construit des Fablab, on organise des hackatons, on fait des festivals de hacker en été, on inscrit nos enfants dans des hacking schools. La culture Hacking s’est démocratisée / vulgarisée.
Au départ le hacker a un profil ingénieur informatique, il vient du monde du logiciel libre, de culture cyber punk et souhaite faire évoluer la société à l’image des pratiques utilisées dans leurs communautés c’est-à-dire la co-construction et le partage du code, ci-dessous la base.
(liberté 0) La liberté d’exécuter le programme comme vous le souhaitez, et à toute fin ;
(liberté 1) La liberté d’étudier le fonctionnement du programme, et le modifier comme vous le souhaitez pour votre ordinateur ;
(liberté 2) La liberté de redistribuer les copies que vous avez reçues ;
(liberté 3) La liberté de distribuer des copies de vos versions modifiées pour donner à toute la communauté une chance de profiter de vos modifications .
A savoir, on utilise logiciel libre ou open source de manière interchangeable mais les concepts sont différents, comme le rappel Richard Stallman. La différence fondamentale entre les deux concepts réside dans leur philosophie : « l’open source est une méthodologie de développement; le logiciel libre est un mouvement social ».
C’est donc grâce aux développeurs de logiciels libres que l’on voit naître une multitude de branches.
Le hacker qui souhaite changer le monde en combattantet en se servant de la décentralisation comme socle d’un nouveau modèle.
Le hacker « méchant » mal intentionné qui fait des casses numériques ou qui vend des informations au plus offrant (Black hats)
Le hacker “gentil” éthique ou expert en sécurité informatique qui découvre des failles pour assurer une meilleure sécurité des systèmes d’information d’une organisation ou d’une entreprise.
Le hacker qui construit une maison autosuffisante.
Le hacker qui fait du marketing et qui se dit prêt à déjouer les GAFAM pour récupérer du trafic (GrowthHacker)
Le hacker qui fait de la biologie dans un BioHackLab pour expérimenter et inventer un futur commun autour des questions de santé, d’environnement, d’alimentation.
Et tout ceux qui trouvent une résonance dans cette culture mais qui généralement ne connaissent pas les fondamentaux nécessaires aux labels.
Les hackers ne se proclament jamais hackers, cependant tout ce qu’ils font répond à des principes de liberté, de décentralisation et de partage. Les hackers ont accompagné la société vers la décentralisation de ses services, ils sont au coeur de la transition numérique et à l’origine de nombreux changements sociétaux.
En bien en moins bien ?
La philosophie du hacking est maintenant reconnue et transmise. En marketing, on a les growth hackers, les développeurs participent à des hackathons. Le patron d’une boîte fait appel à des corporate hackers pour faire de la conduite de changement. Des entreprises proposent aussi des compensations financières aux hackers pour la découverte de failles de sécurité dans leurs systèmes informatiques, site internet ou logiciels, ces récompenses appelées “bug bounty” sont de plus en plus utilisés par les grandes entreprises du digital.
L’imitation du modèle informatique est sans limite et des fois vide du sens premier.
Les nouvelles générations sont des hackers natifs, trouver la faille est bien plus drôle que gagner le gros lot. Les jeux vidéo propagent cette culture en cachant régulièrement des lots, des secrets (easter eggs). Cette culture a permis de développer la curiosité et la débrouille, dans ce sens, on peut se dire que c’est très bien.
Cependant si on se replonge dans le combat des PAPAS hackeurs comme Richard Stallhan le bilan semble un peu moins glorieux. Le logiciel libre n’a pas réellement conquis les utilisateurs. Ce sont les GAFAM qui ont raflé la mise grâce à une simplicité d’utilisation UI/UX faussement gratuite. Le plus dommageable dans tout ça au-delà du pillage des données personnelles, c’est certainement la perte du pouvoir de l’homme sur la machine.
Ces 15 dernières années malgré le pop de la culture « Hacking » le bilan de notre indépendance et des valeurs portées par celle-ci est plus que médiocre. Google et Facebook ont raflé la mise sur l’usage de l’Internet. Le hacker informatique surfe maintenant sur les bugs ou sur les aberrations…
Le hacker sociétal essaie d’appliquer le principe de décentralisation à l’ensemble des secteurs. La démarche est positive car elle se veut dans une lignée de principes mais souvent il rajoute blockchain sans connaissance pour être dans le mouv’ et faire semblant de coller aux fondamentaux.
La pire dérive de la culture Hacking est de s’en servir uniquement pour communiquer car au-delà de mentir sur la marchandise au fur et à mesure on tue le concept de base. On a pu le voir avec le mot “open” issu de l’open source repris par Orange et les hashtags de twitter resservit à toutes les sauces par le monde publicitaire. Open source est très strict et un # sert à regrouper des discussions, suivre un flux, catégoriser pas à faire joli sur une affiche… Bien ou moins bien, personne ne peut juger, c’est comme dire c’était mieux avant…
Comment faire pour que cela évolue vers le « mieux » ?
De mon point de vue, il y a en toile de fond plusieurs perspectives, bonnes ou moins bonnes, tout dépend comment on souhaite voir / vivre le futur.
Un scénario de collapsologie (théorie de l’effondrement) amènerait à un usage raisonné et intelligent de l’ensemble de ses données. Le hacker aura un rôle de régulateur / administrateur et veillera à ce que tout le monde puisse avoir accès de manière libre et indépendant.
La blockchain aussi peut jouer un rôle très important dans ce nouveau paradigme. Cette technologie est l’arme fatale de la décentralisation à terme plus besoin de banque pour transférer de l’argent, plus besoin de notaire pour certifier une propriété. La crypto- monnaie remplace au fur et à mesure la monnaie. Le scénario rêvé des hackers crypto-anarchistes qui souhaitent faire évoluer la société vers une gouvernance partagé, ouverte, transparente et collaborative.
On rêverait de vivre une société horizontale, collaborative, communautaire et locale. Malheureusement ces 15 dernières années confirment que le socle ne sera pas ainsi. Les choix sociétaux et politiques profitent aux GAFAM, qui ont donc recentralisé Internet. Dans ce nouveau paradigme les hackers laissent la place aux trans-humanistes. De nos jours on bidouille moins, de nos jours on cherche plus à augmenter ses compétences. Les rêves d’une société plus juste laissent la place à un monde de la performance qui partage la société en 2, les compétents augmentés et les autres. Le hacker laisse la place à l’ingénieur IA et Big Data…
Dans tous les cas le hacking spirit ancre dans la société des valeurs fortes comme la curiosité, la passion, le jeu, le plaisir, l’échange et le partage. Ce socle est très intéressant pour construire l’avenir dans un monde aussi incertain, nous devons faire confiance aux nouvelles générationss qui sauront trouver la solution pour vivre librement dans un monde « logiciellement » fermé.