Festival des micronations et gouvernance 2.0

👑 Festival des micronations et gouvernance 2.0

Chemin pour changer de civilisation : Tout ce qu’on ne peut pas faire dans le rĂ©el, on le fera dans le virtuel. Et le virtuel finira par ĂȘtre rĂ©el.

Royaume virtuel, Ăźle abandonnĂ©e, squat, crĂ©ation de lieu dit, plate-forme pĂ©troliĂšre, geste artistique ou tout simplement envie de libertĂ© sans mesure. Les micronations sont, il me semble un modĂšle de compensation dans une sociĂ©tĂ© qui s’est toujours sentie Ă  l’étroit voire enfermĂ©e.

TantĂŽt geste artistique, local mais surtout politique, la micronation est une entitĂ© territoriale ou extraterritoriales crĂ©Ă©e, au dĂ©part, par un petit nombre de personnes et qui prĂ©tend au statut de nation indĂ©pendante ou qui en prĂ©sente des caractĂ©ristiques, mais n’est en aucune façon reconnue comme telle par les nations officielles ou par les organismes transnationaux.

Marseille abrite plusieurs projets de micronation, le plus connu Ă©tant la rĂ©publique libre du Frioul (favoriser l’investissement culturel et artistique sur les Ăźles du Frioul), la micronation du Miroir OmbriĂšre (micronation éphémère sur le thème de l’attention), plus rĂ©cemment les Ăźles Bermond (prototyper des utopies qui peut ĂȘtre seront des rĂ©ponses au monde de demain).

De nos jours ces micronations pourraient vivre leurs heures de gloire grùce au développement des mondes virtuels, les fameux metaverses mais surtout les DAO (organisation entiÚrement décentralisée).

En effet la technologie peut de nos jours gĂ©rer les gouvernances de maniĂšres autonomes. La crĂ©ation de monde virtuel et le dĂ©veloppement de la blockchain permettent la crĂ©ation d’organisations autonomes, autogĂ©rĂ©es, transparentes et plus efficaces. Avant de voir la sociĂ©tĂ© gĂ©rer par la DAO nous verrons surement l’utilisation de celle ci comme outil de de decision et gestion de trĂ©sorerie pour l’entrepreneur de demain.

Marseille a toujours eu la rĂ©putation d’une ville libre, rebelle et crĂ©ative. Marseille est indomptable, atypique mais aussi tolĂ©rante, elle a eu la chance d’accueillir la premiĂšre rĂ©publique libre du Frioul, une micronation enthousiaste basĂ©e sur le respect.

Ce mini festival a pour but de fĂȘter cette Ă©nergie de libertĂ©.

Date et lieu : le 15 juin de 17h Ă  22h Ă  Marseille Ă  La Fabulerie

La Fabulerie, fabrique numĂ©rique et tiers-lieux culturels fait vivre depuis 2010 des projets innovants qui tentent d’ouvrir la connaissance au plus grand nombre, stimuler les imaginaires et dĂ©crypter ce monde en rĂ©gime numĂ©rique.

10 boulevard Garibaldi 13001 Marseille https://www.lafabulerie.com

Discours d’ouverture de Nicolas gĂ©rant des Ăźles Bermond // 15 min

Rendre visible des Ăźlots d’initiatives crĂ©atives, indĂ©pendantes et libres, vivre autrement en dĂ©couvrant des inspirations et le fonctionnement de vie libĂ©rĂ©es, ce n’est pas une utopie mais plutĂŽt une source de crĂ©ativitĂ©, de pĂ©dagogie et d’espoir qu’on retrouve dans la quasi totalitĂ© des projets des micronations et de DAO. Comment peut on ĂȘtre un nĂ©o-entrepreuneur qui privilĂ©gie en amont l’instinct, la communautĂ©, la quĂȘte de sens et l’action en amont du projet Ă©conomique ?

Projection du documentaire sur la RĂ©publique libre du Frioul // 17H30 30 min doc + 30 min d’échange avec le public

À partir du documentaire de Franco Revelli (petite histoire d’une rĂ©publique libre)
Le 23 dĂ©cembre 2011 voit le jour la RĂ©publique du Frioul. Sa devise est : « Pour l’art et l’insolence, sans insolation ». Des ambassades sont ouvertes partout en France et sur l’Ăźle du Frioul. Une pensĂ©e qui n’est pas une utopie sociale mais plutĂŽt une utopie du jeu, un « concept totalitairement libertaire ». C’est la petite histoire d’une RĂ©publique libre.

TRANSITION

Tout ce qui a bloquĂ© les nations et les micronations dans la vie rĂ©elle, pourrait ĂȘtre dĂ©bloquĂ© dans « le virtuel ».

Souvent les micronations ont Ă©tĂ© arrĂȘtĂ©es dans leurs Ă©lans par l’application de la loi du territoire. L’extra territorialitĂ©, « le virtuel » pourrait effacer les problĂšmes juridiques. La technologie blockchain met Ă  disposition un kit pour crĂ©er une nation avec l’ensemble de ses services.

Conférence de Susanne Tarkowski Tempelhof // 19h -> 20h

Susanne a beaucoup d’idĂ©es et une conviction : la technologie change le monde bien plus vite que la politique. Elle a tous les outils pour changer le monde et en plus elle l’a dĂ©jĂ  expĂ©rimentĂ© en participant Ă  la mise en place de l’e-estonie. En cette fin de journĂ©e, elle nous parlera de la boite Ă  outil de gouvernance d’une nation ainsi que son experimentation concrĂšte dans un pays souhaitant mettre en place une e-residence.

2 tables rondes et dĂ©bat avec le public sur la thĂ©matique globale dĂ©centralisation, un horizon pour le nouveau monde ? // 20h15 – 22h 

Nous animerons 2 tables rondes avec la participation du public sur le sujet de la dĂ©centralisation oĂč l’utopie peut ĂȘtre un cadre de rĂ©flexion. Le mouvement des micronations en est une preuve vivante. Comment des projets ubuesques ayant pour but de montrer une nouvelle voie ou de mettre en avant des incohĂ©rences peuvent ils favoriser l’émergence du nouveau ? Comment la technologie et les nouveaux usages accĂ©lĂšrent ils ce mouvement ? Le metaverse peut-il tre un espace de prototypage ? L’e-estonie, maintenant la e-lithuanie, Ă  quand la e-residence marseillaise qui pourrait attirer des nouveaux profils, des nouveaux citoyens ? La DAO apporte un espoir fondĂ© sur un programme informatique, une sorte un remĂšde au manque de confiance des personnes envers les organisations, les institutions, les gouvernements…, peut-on y croire ? Et oĂč en est on du mouvement BlockChain Democracy ?

Table ronde 1 : Micronation et monde virtuel, un horizon pour l’avenir ? » (50 min)

  • Karim Boussalem (Chez FunFunk)
  • Franco Revelli (RĂ©alisateur documentaire)
  • Guillaume CISCO (Liberland)
  • Xavier Leton (VillesAllantVers)
  • VĂ©ronique Rondeau-Abouly (Avocat Blockchain – Crypto)

Animation table ronde : Hayat Outahar (Tech Flooz)

Table ronde 2 : « DA0 et blockchain democracy les fondements des organisations de demain? » (50 min)

  • Jules Foa (Kryptosphere Accelerator)
  • Nicolas Bermond (Ăźles Bermond)
  • Pierre Noro (Blockchain democracy expert)
  • Hayat Outahar (Tech Flooz)
  • VĂ©ronique Rondeau-Abouly (Avocat Blockchain – Crypto)

Animation table ronde : Fabrice Epelboin (Creative technologist)

Programme aprĂšs l’évĂšnement

PossibilitĂ© de rĂ©sidence d’artistes, rĂ©sidence hacking pour dĂ©velopper des prototypes artistiques, technologiques,  juridiques prenant en compte l’importance des donnĂ©es personnelles.

Organisateurs :

Nicolas Bermond

La Fabulerie

Partenaire :

50A.fr

Autres Documentaires pour info :

How to start your own country
https://mubi.com/films/how-to-start-your-own-country

Liste officielle des micro nations :

https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_de_micronations

 

 

ÊTRE VIVANT

Aujourd’hui dans le monde feutrĂ© du matĂ©rialisme, l’Homme se retrouve difficilement confrontĂ© Ă  ses instincts primaires. La sociĂ©tĂ© de longue date les brime car son rĂŽle est d’essayer de trouver un Ă©quilibre social, une sorte de lissage des Ă©motions qui permettrait un meilleur vivre ensemble.

l’Homme perd gĂ©nĂ©ration aprĂšs gĂ©nĂ©ration son cĂŽtĂ© vivant. On le remarque dans les discussions, dans le travail, dans les sorties mais aussi dans l’uniforme vestimentaire qui semble ĂȘtre dĂ©calĂ© alors qu’il est ultra codifiĂ©. La mode du no care, les nineties, le damier, pantalon large qui remonte. On s’en bat mais en suivant des rĂšgles prĂ©cises 🙂

Il est de nos jours difficile d’exprimer son vivant. Au contraire, j’ai entendu ce matin qu’on voulait rĂ©-Ă©crire des livres considĂ©rĂ©s comme masculinistes. Franchement ça fait peur, comment peut-on imaginer trafiquer la mĂ©moire collective car elle ne correspond pas au moeurs actuel ?

ĂȘtre vivant
ĂȘtre vivant, modĂšle d’une abeille bien vivante

La cancel culture tue les maniĂšres d’ĂȘtre vivant alors qu’il n’en restait dĂ©jĂ  plus beaucoup. Le problĂšme c’est que nous considĂ©rons plus l’ensemble de l’humanitĂ© comme vivante. Nous sommes vivant face Ă  notre tĂ©lĂ©phone portable, nous sommes vivant dans une visioconfĂ©rence / rĂ©union de travail, en commandant sur Amazon…

Mais qu’en est il face Ă  un Ă©tranger, face Ă  un animal, face Ă  la nature…?

Je connais quelqu’un sans le nommer qui se met de temps en temps tout nu au restaurant ou dans la rue. Il ne fait pas que ça, il se permet de parler de sujet tabou, de faire des blagues graveleuses.

En fait, c’est lui qui est vivant ! Pour suivre son Ă©lan, j’ai parlĂ© avec un chien aujourd’hui, on a eu un Ă©change trĂšs intĂ©ressant sur les maitres trop protecteurs qui essaient de les transformer en humain.

Quand on ne se permet plus, quand on limite sa parole, quand on ne trouve plus de moyens de rester connecter à la terre, à la nature. On participe de maniÚre insidieuse au déclin du vivant.

Au contraire quand on se met en danger, quand on parle Ă  un Ă©tranger, quand on exprime son point de vue voire quand on se permet d’avoir un point de vue. On sublime le vivant.

Nicolas Bermond

 

HISTOIRE D’HISTOIRE

Qu’est ce que l’histoire ? C’est l’histoire que je raconte Ă  mon collĂšgue. C’est l’histoire de ma vie, complexe Ă  raconter car elle est effective le jour de ma mort. C’est une histoire amoureuse, qui par son caractĂšre passionnĂ©e ou enivrĂ©e manque souvent d’objectivitĂ©. Ou, c’est peut-ĂȘtre la grande Histoire, celle qu’on qu’on croise dans un manuel. Celle qui se nourrit des premiĂšres Ă©critures de Marc AurĂšle ou de Tacite. Celle qu’on recherche Ă  travers son arbre gĂ©nĂ©alogique. Celle que nos grands parents nous ont racontĂ© au coin du feu ou avant de nous border.

Cette histoire, c’est la notre, la votre, c’est l’histoire de notre peuple. Ces peuples premiers vous influencent aujourd’hui et vous influenceront encore demain. Dans l’histoire que je vous raconte, je vais essayer de partager une croyance. Cette croyance est que si nous remontons Ă  2000 ans ou plus, nous sommes certainement tous des cousins et que l’ensemble des combats, des guerres, des pires choses mais aussi des meilleures nous les avons dĂ©jĂ  vĂ©cus.

La Gaule correspondant Ă  peu prĂšs Ă  la France d’aujourd’hui comptait 5 millions de personnes. A cette Ă©poque les surnoms ont laissĂ© place Ă  des prĂ©noms, puis Ă  des noms, leur origine pouvant ĂȘtre influencĂ©e par les caractĂ©ristiques physiques ou la profession d’une personne. En France par exemple, les noms de famille ne seraient apparus que vers le XIIĂšme siĂšcle.

Pour mon nom de Famille, Bermond  ce fut d’abord un prĂ©nom, on le trouve Ă©crit Berimund au Ve siĂšcle (Guerrier protecteur) puis Bermund au 9e siĂšcle et Bremund au XIeme siĂšcle. En 245 Bermond de Burgondes n’a pas de nom de famille. De mĂȘme que son cousin Berimund (prince ostrogothe) en 525. Au XIeme siĂšcle on a un Bermond d’Anduze (Ă©vĂȘque) et son frĂšre Pierre-Bermond d’Anduze qui a Ă©pousĂ© l’ancienne reine Constance de Toulouse. 

A cette Ă©poque Bermond est un prĂ©nom et on le qualifie par la maison qu’il reprĂ©sente chez nous c’est Anduze, Uzes, Sauves etc
Je viens de me rendre compte que mon nom est en fait un prĂ©nom et que tout ce que je vis est probablement un Ă©cho de mon passĂ© et du passĂ© de l’humanitĂ©.

Alors qu’avez vous retenu de cette histoire ?

Connaissez vous les origines de vos noms qui Ă©taient peut ĂȘtre des prĂ©noms ?

Croyez vous à la grande Famille qui nous réunirait pour le meilleur et pour le pire ?

Nicolas Bermond

Civilisationneur 

J’aime partager mes rĂ©flexions sur notre changement de civilisation. Ouvrir ses yeux, ses oreilles et son cƓur au monde pour accĂ©der Ă  demain.

Suite à une discussion avec un Christophe ami de Christophe et suite à une recherche sémantique pour définir au mieux une / mon activité, je suis retombé sur le mot Civilisationneur. 

Comme une recette de cuisine, une improvisation de piano, le civilisationneur doit comme un druide oser les mĂ©langes entre histoire, sociologie, politique, prospective, science fiction
 Le civilisationneur a un rĂŽle important dans ce monde de non sens de confusion oĂč on casse tour Ă  tour les acquis.

bar du peuple

Dans ce grand tournant de civilisation que nous vivons on pourrait avoir peur et se dire, difficile sera le choix entre l’effondrement et le transhumanisme. Nous ne sommes pas obligĂ©s d’ĂȘtre transgenre ni de voter aux extrĂȘmes pour se sentir en phase avec la sociĂ©tĂ©.

Non non car ce qu’on fait en ce moment c’est purement et simplement casser le jouet sociĂ©tal de la 3eme rĂ©volution industrielle. Pan aprĂšs pan nous dĂ©truisons les schĂ©mas construits et consolidĂ©s depuis des gĂ©nĂ©rations: Le genre n’est plus un genre, le travail n’est plus du travail, le rĂ©el n’est plus rĂ©el. Et on pourrait se dire oulala c’est la cata, c’est l’opposĂ© nous passons par il me semble une phase obligatoire de destruction qui pourra peut ĂȘtre nous permettre d’accĂ©der Ă  une civilisation plus en phase.

Dans le bateau du chaos, il faudra naviguer dans le brouillard, dans la tempĂȘte mais surtout avant la navigation, il faudra se connaĂźtre moussaillon.

Ton passé et tes traumas tu laisseras derriÚre toi, ta parole tu développeras mais surtout ton écoute tu amélioreras.

Mais qui est donc ce civilisationneur ?

Tout sauf l’ego

Il doit se connaĂźtre, Ă©couter et parler avec prĂ©cision. Le dĂ©veloppement personnel comme prĂ©-requis essentiel Ă  toute action. La connaissance de soi est devenue primordiale au mĂȘme titre que l’égalitĂ© des sexes, ce sont les grands dossiers que l’humanitĂ© a Ă  dĂ©passer en prioritĂ©.

Comment peut-on trouver des solutions si on ne s’est pas trouvĂ© soi-mĂȘme ?

Pourquoi je me sens agressĂ© quand mon congĂ©nĂšre s’exprime, il y a probablement 2 raisons ce qui me touche au plus profond de moi mais aussi la parole de l’autre qui n’est peut ĂȘtre pas impeccable. Dans tous les cas c’est un travail sur soi et en coopĂ©ration. À la fin de ta vie que restera t’il de ces sensations faussĂ©es, peut ĂȘtre de l’aigreur ? 

Haltes au radicalisme de son ego, il faut se désolidariser de ses pensées intimes qui nous dictent une conduite bornéeet radicale.

Finalement imaginer le futur sous cet angle semble donner un espoir concret de dĂ©veloppement. Ce dĂ©veloppement ne serait pas orientĂ© vers le capital et la consommation mais vers soi, sur de l’humain et de la coopĂ©ration entre humains 2.0. ».

Tous Ă©gaux

Il doit considĂ©rer l’égalitĂ© des sexes comme le grand enjeu collectif de notre civilisation. Le civilisationneur pense que l’égalitĂ© entre homme et femme n’est pas une utopie car cela a belle et bien existĂ© dans les premiers temps de l’humanitĂ©. Et oui les hommes et les femmes Ă©taient parfaitement Ă©gaux du temps des chasseurs-cueilleurs. Cette Ă©galitĂ© est Ă  l’époque « une stratĂ©gie de survie parce que cela stimule la coopĂ©ration entre individus qui ne sont pas liĂ©s entre eux et Ă©largit le cercle social ». Cela aurait jouĂ© un rĂŽle presque aussi important que le langage ou notre cerveau social dans le dĂ©veloppement de la sociĂ©tĂ© humaine Ă  travers l’évolution. Les recherches de Marc Dyble vont mĂȘme jusqu’à suggĂ©rer que l’inĂ©galitĂ© serait, au regard de l’évolution, causĂ© par l’avĂšnement de la propriĂ©tĂ©.

L’homme ce gros malin a pu acquĂ©rir des richesses quand ils ont pu avoir plusieurs femmes et plus d’enfants que les femmes.  DĂšs lors, il Ă©tait plus rentable pour les hommes d’accumuler les richesses et de dĂ©velopper des alliances avec d’autres hommes ;).

Le sujet est tellement tabou qu’il faudrait commencer Ă  parler de complĂ©mentaritĂ© entre homme et femme, l’indiffĂ©rence aux diffĂ©rences au sens oĂč tout individu est unique et ne doit pas entrer en compĂ©tition ou prendre l’autre comme une ressource.

Holistique

Il doit prendre en compte les divers aspects de la vie comme formant un ensemble solidaire, sachant que c’est le tout qui donne la signification. Ce n’est pas un polytechnicien, il a juste une sensibilitĂ© et une polyvalence qui lui permet de transcender.

Pour rendre plus accessible et cru ce sont des gens qui sont capables de faire confiance Ă  leurs intuitions, de les associer Ă  des fait rĂ©els et de l’expĂ©rimenter Ă  plus grande Ă©chelle.

Ami..e.s civilisationneur.s levé.e.s la main, le syndicat vous attend les bras ouverts !

Nicolas Bermond