Carnaval de la Plaine 2025 : Marseille en feu, Marseille en fête, Marseille No Data avec beaucoup de téléphone ;-)
C’est un moment hors du temps, une brèche ouverte dans le quotidien. Chaque année, on y revient, comme un appel irrépressible. Le Carnaval de la Plaine n’est pas une simple fête, c’est un souffle de liberté, une danse joyeuse de la place Jean Jaures, au Cours Julien, un cri d’amour à la ville, à la vie, à l’anarchie, à la liberté.
La thématique no data center, halte à Musk / Trump, vis sans cookies et surtout no Airbnb.
2025 n’a pas fait exception. Une vague humaine a déferlé, je pense le double de l’année dernière, costumée, bariolée, le cœur battant au rythme des tambours. On s’y retrouve sans se donner rendez-vous, comme si l’esprit du carnaval tissait un fil invisible entre ceux qui veulent encore rêver ensemble. Des sourires, des corps en mouvement, des bras qui se tendent pour attraper l’instant, et cette sensation unique : ici, tout est possible.
Le Caramentran brûle, et avec lui, on abandonne nos poids, nos hivers, nos fardeaux. Une lueur dans la nuit, un feu qui nous éclaire et nous rappelle que la fête est un acte de résistance. Libre, insoumis, joyeux.
Et l’année prochaine, on y sera encore !
PS : les photos sont copyrightées, si besoin, contactez moi, nicolas@coke.fr
À l’heure d’un changement intense, chaque souffle est celui d’un monde en transformation. Nous sommes une communauté qui choisit la joie, l’amour et la beauté. Je ne me trompe pas ? Nous ne savons pas toujours ce que nous construisons mais chaque action, chaque lien tissé, chaque évènement, chaque lieu maximise nos chances de nous trouver, d’être plus heureux, d’être vivant et acteur dans ce monde qui changera encore plus demain.
Nous avons décidé d’être heureux parce que c’est bon pour la santé. Le véritable voyage ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux. Il me semble que nous avons dépassé la logique de plus, c’est mieux. Plus est une quête sans fin, on peut juste finir par se perdre. Et peut être qu’avec moins on se trouve ? Il parait même qu’être heureux c’est gratuit !
Nous avons décidé d’aimer et d’être passionné parce que c’est aussi bon pour la santé. Si vous pensez que l’aventure est dangereuse, essayez la routine, elle est mortelle. Les gens les plus heureux n’ont pas tout ce qu’il y a de mieux. Ils font juste de leur mieux avec tout ce qu’ils ont. Tous les hommes pensent que le bonheur se trouve au sommet de la montagne, alors qu’il réside dans la façon de la gravir.
J’ai décidé de surmonter les injonctions sociales pour vivre une vie plus authentique. Je crois que la force transformatrice des idées peut changer la perception du monde et ainsi modifier la réalité elle-même. L’écriture est une phase de solitude absolu, loin d’être un enfer, c’est une découverte du plus profond de soi.
En 2025, nous relançons la guinguette, à la fois réelle et virtuelle avec des #OpenKitchen et des apéros improvisés, nous recherchons d’ailleurs un bar ou un tiers-lieu où nous réunir.
Love, enjoy, happy on va bien finir par y arriver.
Avez-vous déjà rêvé d’un monde où les frontières n’existent plus vraiment où les communautés se forment librement et créent leur propre réalité ?
C’est ce rêve qui m’a poussé à écrire Archipel, un livre qui propose une exploration de nouveaux horizons, à la frontière entre le réel et le virtuel, là où l’individu et la communauté redéfinissent leurs rôles. Mon parcours, oscillant entre l’entrepreneuriat, la technologie et la créativité m’a naturellement conduit vers cette réflexion. Il faut réfléchir et pousser l’émergence de nouveau modèle de gouvernance, d’organisation de société.
Aujourd’hui, je suis heureux d’annoncer la sortie prochaine d’Archipel disponible en 2025 dans la plus grande librairie du monde.
D’après mes ami.e.s, c’est une ballade entre utopie et réalisme, une invitation à repenser la manière dont nous organisons nos vies et nos communautés.
J’explore le concept d’archipel comme modèle d’organisation sociale. Chaque île, ou micro-communauté, s’auto-organise autour de valeurs partagées, connectée aux autres îlots mais préservant son autonomie. Cette structure flexible et décentralisée représente une alternative aux hiérarchies rigides que nous connaissons, en s’appuyant sur la technologie et sur des principes de gouvernance décentralisée.
Ce livre est aussi une réflexion sur notre société moderne qui semble à un tournant voire en fin de civilisation. Les systèmes traditionnels peinent à s’adapter, nous avons quand même la chance de voir de nouvelles voies tant dans la culture traditionnelle (co-living, co-working, nomade…) mais aussi dans la technologie confère le web3 (decentralisation, contrôle et confidentialité).
La volonté de créer des communautés authentiques, unies par des valeurs et non par des frontières géographiques n’a jamais été aussi prégnante.
L’aventure d’Archipel, c’est une écriture d’exploration, un voyage orné de surprises et de découvertes inattendues, découvrant des territoires vierges (les network-states) ou des obstacles imprévus (résistance et agacement du modèle).
L’inspiration m’est venue en étudiant comment la technologie redessine la carte de nos vies et en me questionnant sur ce que pourrait être un monde où chaque individu peut choisir son propre archipel.
Les rencontres, humaines, virtuelles et artificielles m’ont fasciné et comme toute exploration, l’improvisation organique a été mon phare durant tout ce voyage. Le livre sera bientôt disponible, et j’ai hâte de le partager avec vous (ceci est un teaser)
Mon espoir est que ce livre inspire autant qu’il interroge, et qu’il vous donne envie de réfléchir à la façon dont nous construisons nos communautés. Car je suis certain que chaque pas vers un archipel est un pas vers un monde où chacun est libre de se réinventer.
Merci à ceux qui m’ont accompagné et à vous, futurs lecteurs. Et suivez nous pour le lancement
Au lieu de me dire que nous vivons dans un monde fini, que nous n’avons pas la main sur les choix politiques, sur la manière d’entreprendre, sur le sens que nous souhaitons exprimer dans nos façons de vivre, je me suis libéré de toutes contraintes en me disant que nous disposions de tous les outils pour créer des univers en adéquation avec nos idées, nos envies et nos convictions.
Tout existe déjà : les communautés d’affinité, les monnaies alternatives, complémentaires ou cryptées, les plateformes de gouvernance, les constitutions à co-écrire…
Il ne reste plus qu’à oser nommer un endroit pour le faire exister et enfin demander la souveraineté aux cartes en ligne.
Je vais vous raconter l’histoire et la naissance de mon univers.
J’ai osé nommer l’île, j’ai fait des raccourcis dans des histoires de « famille » afin d’avoir un semblant de crédibilité. J’ai rendu le tout visible et j’ai tout simplement demandé la souveraineté aux plateformes de cartographie en ligne. Je me suis servi du passé comme clé pour réinterpréter le présent et créer un nouveau futur.
J’ai revisité le passé à travers l’open source intelligence (#OSINT), les informations disponibles et ouvertes en ligne.
Cela m’a permis d’extraire des informations d’une richesse et d’une intensité inespérées.
J’ai pu redécouvrir des concepts oubliés et réinterpréter des événements historiques sous un nouveau jour. En explorant ces archives numériques, je me suis rendu compte que le nom Bermond apparaissait souvent en tant que “Famille Bermond”. Une famille qui véhiculait des valeurs (plus fidèle que la foi), possédait des biens (châteaux et îles) et perpétuait des usages ancestraux. Dans la France méridionale à partir de 1050, on voit fleurir une multitude de petites seigneuries. Propriété et souveraineté se confondent. Il suffit de détenir un coin de terre de ses prédécesseurs pour y exercer des droits régaliens : lever des impôts, rendre la justice, parfois battre monnaie.
En répétant des modèles passés qui résonnent avec des innovations actuelles, j’ai imaginé un monde qui pourrait utiliser une technologie de gouvernance horizontale. Ces connexions montrent que l’essence de ce que nous considérons comme nouveau existe déjà dans les racines de notre histoire. Dans les univers virtuels, la notion de propriété n’est pas obligatoire, mais elle est possible. La monnaie peut être une monnaie d’échange, une monnaie d’utilité ou une monnaie indexée sur l’euro ou le dollar. Idem pour le temps, qui peut être variable, inexistant ou cyclique. Le présent et le futur sont relatifs.
île Bermond
Y a-t-il un mot pour définir une nouvelle société, un nouveau monde ?
Il n’y a pas encore de définition exacte et les concepts n’ont pas encore été tranchés. On a les network-states, les e-residences, les micronations, les multivers, les métavers (d’ailleurs, Facebook/Meta a déposé le terme, limitant ainsi son potentiel). Ce qu’il faut retenir, ce ne sont pas juste des univers habités par des avatars ou traversés avec des casques de réalité virtuelle. Ce type de multivers est techno-conceptuel ; il offre la possibilité de créer un univers, réel ou virtuel, de toutes pièces, sur mesure. Pour moi, c’est la projection de plusieurs univers : des univers de test, de rencontre, artistique, de business. Chaque individu aurait l’opportunité d’incarner l’identité qu’il souhaite, de commercer ou de partager avec sa communauté, de se regrouper, de valoriser les liens forts, de tester de nouveaux modèles, de nouvelles idées, et de lutter contre l’individualisme en se rapprochant des individus avec lesquels il partage des relations fortes.
Ce ne sont surtout pas des univers imposés ou propriétaires, ni une simple extension virtuelle ou augmentation de la réalité. Le multivers doit permettre la liberté absolue de création et d’interconnexion avec un système économique ou politique sur mesure. La bataille entre logiciel libre et propriétaire sera certainement, une fois encore, un enjeu politique et philosophique dans la conception et le design de ces nouveaux espaces, de ces nouveaux univers.
Dans la continuité de l’imaginaire positif, la réalité du réel choisi est à portée de main et de clics.
Aujourd’hui nous cherchons à créer des nouveaux univers et à fédérer des projets disruptifs pour créer des nouvelles sociétés. Concernant la gouvernance, nous avons lancé la DAO des îles Bermond
Nous organisons des #DAOFest pour faire connaître et évangéliser l’usage.
J’anime un groupe think-tank Archipel tous les 13 du mois ici https://t.me/joinarchipel .
Je vous embrasse fort.
Nicolas
Remerciements, clins d’oeil et ping pour pong :
Hommage à ma famille et spécialement à mon père Jean pour sa contribution à rendre la révolution grandiose à nouveau.
Hommage à Queen P Bermondaine des Bermond Island ❤️.
Hommage à mon frère Thibaut Brousse.
Hommage à mon ami Jules, nous trouverons des sponsors pour évangéliser le monde.
Hommage à ma sœur Hayat, je te soutiens éternellement.
Après LeBateau, étude sur la micro consommation en mer de data et contribuer à co-construire un internet citoyen. Un projet réalisé avec l’agence de conseil en transformation 50A et MyDataLabs association et think tank sur les données personnels, résumé ici :
Et la création de l’Auberge de Marseille (Sas de décompression pour cadre et créatif parisien) nous ont permis de vivre des modèles de créativités riches et disruptifs.
Nous avons donc décidé de relancer un projet créatif autour de la voile
« Dans le bateau du chaos, il faudra naviguer dans le brouillard, dans la tempête mais surtout avant la navigation, il faudra se connaître moussaillon. »
Ton passé et tes traumas tu laisseras derrière toi, ta parole tu développeras mais surtout ton écoute tu amélioreras.
Le cadre intime d’une croisière à voile est propice pour se découvrir, pour réfléchir à des nouveaux projets et pourquoi pas les construire avec l’équipage.
Si vous souhaitez rejoindre notre groupe sur telegram c’est aujourd’hui possible, il était dans sa genèse pour l’organisation. Il s’ouvre aujourd’hui à vous : https://t.co/6oTrD1FMRE
La particularité du groupe c’est que toutes les personnes intéressées par le projet deviennent de fait administrateur du groupe.
La DAO des îles Bermond est une initiative captivante qui mélange des éléments virtuels et physiques pour explorer les dynamiques innovantes de gouvernance et de communauté au sein d’un cadre de micronation. Cette initiative se concentre pour démarrer autour des îles Bermond, qui servent à la fois d’espaces réels et virtuels pour expérimenter avec les organisations autonomes décentralisées (DAO) et les micronations. Ces îles sont conçues comme des lieux physiques et des plateformes pour une gouvernance imaginative, utilisant ou pas la technologie blockchain (le pré-requis est d’utiliser une architecture de gouvernance décentralisé avec ou sans techno, c’est d’ailleurs ce qui se passe dans la communauté DAO actuellement).
Le projet englobe diverses étapes de développement communautaire et technologique. Le projet étant de tester des nouveaux prototypes d’organisation de gestion de projet et d’entreprenariat.
Les projets en cours
Il a organisé des événements comme le #DAOFest, qui est à la fois un festival, un hashtag de gouvernance évènementiel festive et un hackathon visant à développer et prototyper des structures de #DAO. Ces festivals offrent des plateformes pour l’interaction communautaire, la collaboration et la création de modèles de gouvernance qui pourraient potentiellement être appliqués dans des scénarios réels.
La DAO elle-même vise à être auto-suffisante, générant de nouvelles idées et directions indépendamment de sources externes. Ce modèle auto-réplicatif est conçu pour favoriser la créativité et l’adaptabilité au sein de sa communauté.
Les sessions bateaux brainstorming (Bermond Sailing) se déploient en 3 navigations, nav 1 expérience de vie, nav 2 recherche d’un projet commun, nav 3 à terre pour la production et réalisation du projet.
L’ensemble du projet est une exploration ambitieuse du potentiel de coexistence et de coopération entre espaces numériques et physiques, favorisant de nouvelles formes d’organisation et de gouvernance sociétales qui remettent en question les notions traditionnelles de souveraineté, d’efficacité et de contrôle.
Archipel des gouvernances
Les Island-nations, ouverture à des nouvelles îles
Une island-nation est une entité territoriale ou extraterritoriale créée par un petit groupe de personnes, souvent située sur une île ou une structure flottante, et qui prétend au statut de nation indépendante ou en présente certaines caractéristiques. Peut être pouvons nous envisager que nous allons devoir réfléchir au prototypage d’une nouvelle société, pour commencer à petite échelle, avec une liberté créative absolue tout en mettant en concurrence les propositions pour trouver la plus performante. L’émergence de sociétés prototypes ayant pour habitat des îles virtuelles ou réelles réunit l’ensemble des transitioneurs / civilisationneurs dans une compétition positive et internationale.
Il n’y à pas de gagnant tout le monde est gagnant.
Si vous sentez que votre île fait partie de notre Archipel, n’hésitez pas.
Participez avec le collectif et venez à nos événements
Le groupe Telegram : Rejoignez-nous pour des discussions passionnantes et devenez administrateur de notre groupe. https://t.co/6oTrD1FMRE
Le site du DAOFest : Si vous êtes une ville ou un acteur d’une ville souhaitant accueillir un événement collectif et participatif lié à la blockchain et à la gouvernance, visitez notre site. https://daofest.world
Nous vous attendons nombreux pour participer à cette aventure unique et enrichissante. Ensemble, explorons les nouvelles formes de gouvernance et de communauté au sein de l’Archipel. Bienvenue à tous et à bientôt sur les îles !
Au premier regard, la scène semble tout droit sortie d’un film de science-fiction : un homme se tient debout, immobile, sur le quai du port à Marseille, arborant un casque de réalité virtuelle. L’homme en arrière plan est sur son téléphone qui le virtualise aussi.
Cette image peut sembler inquiétante, suscitant des pensées futuristes et des questionnements sur notre rapport à la technologie.
Pourtant, la réalité est bien différente de ce que notre imagination pourrait suggérer. L’homme en question n’est pas en train de s’évader dans un monde virtuel au milieu de la rue. En réalité, il est engagé dans le processus de tournage d’un film. Le casque de réalité virtuelle qu’il porte n’est pas un accessoire de divertissement, mais un outil de travail essentiel pour son métier.
Source fédération.fr et copyright Nicolas Bermond
Je ne suis pas pour vivre connecté en permanence via un téléphone, une montre, un masque…
Mais nous ne pouvons pas ne pas prendre conscience de la force et des avantages de la dimension virtuelle. Le virtuel offre la liberté sans limite à la création, l’exploration, le prototypage… La réalité offre la « stabilité » et la matérialisation des idées.
Le virtuel serait donc une continuité du réel comme espace d’aide à la décision, de décompression, d’expression, d’expérimentation, de création…
Réalité et virtualité forment le couple uni et branché de la vie moderne et non un conflit inter-generationnel.
Le virtuel c’est comme naviguer en mer ouverte sans points de repère, jusqu’à ce que l’Orient soit trouvé, symbolisant l’orientation. Plus j’avance, plus je remercie le virtuel., l’enjeu est de savoir bien s’en servir. Le virtuel servirait à ouvrir les portes fermées…
J’écris en ce moment un manuscrit pour les iles Bermond sur le futur des organisations intégrant la notion de virtualité comme une part entière du réel.
J’en profite comme souvent et comme j’ai l’habitude pour pinguer un ami et cette fois ex associé Jean Mariotte avec qui nous avons monté une jolie start-up de mise en relation de jeunes diplômés de grandes écoles en 2006, il y a 18 ans. Nous avions décidé de faire plonger notre réseau social dans un univers virtuel persistant lors d’un forum grandes écoles. Nous avions prototypé un nouveau type de recrutement.