Carotte ou bĂąton ( đŸ„•ou ⓑⓐⓣⓞⓝ )

La sociĂ©tĂ© est malade et elle nous le rend bien. 

Entre le Covid, la bronchiolite, la grippe et la surpression due Ă  cet environnement. La France est aujourd’hui amputĂ© de ses bras et de son cerveau. Ce mois-ci, si je regarde dans mon entourage pro, ça tourne Ă  50% des effectifs, chez nous et chez les clients aussi.

À la maison, c’est  la catastrophe, si vous avez des enfants et un travail, il faut choisir de gruger les tĂąches du boulot ou de lĂącher les gosses devant la TV.

Quand on regarde la courbe des dĂ©cĂšs et des hospitalisations, si le gouvernement suivait le mĂȘme protocole, on devrait ĂȘtre confinĂ© en alerte rouge. Les miracles de la Com et des Ă©chĂ©ances prĂ©sidentielles ont dĂ©cidĂ© que maintenant tout allait bien grĂące Ă  l’immunitĂ© collective.

Sauf que le nombre de morts est à 1/4 du maximum observé et les hospitalisations sont à leurs apogées.

La supercherie est flagrante mais dans le brouillard d’une sociĂ©tĂ© Ă  bout de souffle, on ne voit mĂȘme plus les signaux Ă©vidents.

Le Covid fait apparaĂźtre toutes les incohĂ©rences, un pouvoir qui n’a plus aucune prise et qui ne peut plus que marcher en mode carotte ou bĂąton.

Si on applique aux prochains mois ce mĂ©canisme, avant les Ă©lections nous serons en mode « Carotte » donc plus de problĂšme de pandĂ©mie, l’économie n’a jamais tournĂ© aussi bien et on redistribue car on est solidaire.

Fini le pass et c’est la fin du masque, on est heureux, la vie normale enfin retrouvĂ©e.

AprĂšs les Ă©lections c’est le « le Baton », il faut rembourser la dette, les variants sont dangereux, l’inflation explose, les dĂ©bordements des neo gilets jaunes antivaxx mettent la rĂ©publique en pĂ©ril. Comme de par hasard il faudra protĂ©ger la population, remettre les masques, sortir les pass, rentrer Ă  20h pour le couvre feu et rembourser la dette.

Quant au capitalisme, il est de plus en plus opportuniste et ne cherche qu’à trouver les failles pour continuer Ă  exister, comme le virus il mute sournoisement. Quand je vois le le business des voitures Ă©lectriques, de la production des batteries, de leur durĂ©e de vie, du renouvellement du parc existant et du poids des vĂ©hicules. Il n’y a pas  grand chose d’écolo dans la voiture Ă©lectrique, on voit surtout une meta enfume ecolo-politico-economico.

Les hommes et les femmes se cherchent dans des faux combats. Qui est le plus inclusif, qui est l’homme, qui est la femme, qui trie le mieux, qui est le plus empathique.

On est au bout mais rien n’y fait, pas une once de clairvoyance. On va rentrer en pĂ©riode Ă©lectorale avec 40% des gens qui se retrouvent dans le passĂ©isme ou le dĂ©clinisme. Les autres se battrons pour dire qu’on n’a pas mieux que Macron.

L’individualisme est le flĂ©au qui nous ronge en toile de fond, on a l’impression de se protĂ©ger mais en fait on dĂ©truit la collectivitĂ© mais surtout l’humanitĂ©.

La solution viendra par la société civile, les citoyens et les entreprises. Les politiques et les partis ne sont pas assez agiles et trop dans le « Game » pour faire bouger le systÚme. Par contre, si il y a une tendance collective, ils suivront.

En attendant, la seule chose Ă  faire est de se reconnecter. Y’a du boulot car le Covid pour ça est une arme de destruction massive relationnelle et sociĂ©tal.

Pour ne pas ĂȘtre que dans le constat nĂ©gatif, je propose mes solutions et un programme de remise en bonne santĂ© que je vais appliquer :

  • voir mes amis le plus souvent possible
  • parler aux inconnus le plus souvent possible
  • faire l’amour quand c’est possible 😉
  • faire la fĂȘte, ça parait tellement abstrait, mais oui ça doit se trouver.
  • consommer moins et dĂ©penser moins
  • faire de la politique locale mais aussi de comptoir
  • arrĂȘter de regarder la TV, d’ĂȘtre lobotomie sur son mobile et de consommer inutile
  • faire des rĂ©seaux sociaux juste ce qu’il faut (gaffe Ă  l’hygiĂšne numĂ©rique c’est un carnage en ce moment)
  • naviguer pour oublier ce que je n’ai pas pu rĂ©aliser
  • 


Des bises et tout va bien, on n’a pas encore touchĂ© le fond 😉

Nicolas Bermond

Histoire d’amour et donnĂ©es personnelles (Épisode 2)

IMPORTANT, lire en premier l’Ă©pisode 1  .

Retrouvez sa famille dans cet ocĂ©an de donnĂ©es n’est pas une chose facile. On doit, pour ĂȘtre certain de trouver ses gĂ©niteurs, utiliser son numĂ©ro de sĂ©curitĂ© social ou son numĂ©ro fiscal de rĂ©fĂ©rence.

Notre ex couple de Data dĂ©cident d’utiliser leurs numĂ©ros de sĂ©curitĂ© sociale. Ils ou IELLES  cherchent sur le WEB, le DEEP WEB mais aussi dans le DARK WEB car il permet de se cacher ou de faire des transactions anonymes.

AprĂšs des recherches peu poussĂ©es mais profondes, les codes des parents ont Ă©tĂ© retrouvĂ©s dans une fuite de donnĂ©es de santĂ©. Pour ceux qui ne connaissent pas en gros, c’est un site tiers qui a eu des autorisations bidons pour rĂ©colter ou ĂȘtre intermĂ©diaire de vos donnĂ©es de santĂ©. Ce site n’a aucune sĂ©curisation et forcĂ©ment c’est fait braquĂ©. En France on en est Ă  peu prĂšs 2 millions de numĂ©ros de sĂ©cu liĂ©s Ă  des informations ultra-confidentielles.

Ces numéros sont immédiatement rangés et mis en vente sur le site internet shopping du DARK WEB appelé étrangement TULASDANSLEBABA.ONION

capitalisme de surveillance
capitalisme de surveillance

Notre ex couple se jette sur l’offre et met au panier ces datas qui pourront les aider Ă  retrouver leurs hĂŽtes humains (les parents), retrouver leurs souverainetĂ©s numĂ©riques et enfin comprendre et rĂ©parer cette erreur de mauvais choix de CLOUD.

Malheureusement l’article n’est plus disponible
 C’est l’assurance « Votre bien ĂȘtre avant tout » qui a rachetĂ© sous le manteau toutes les donnĂ©es. Elle n’a pas le droit oui
 mais bon c’est un peu le Far West du capitalisme ici, appelĂ© par certain capitalisme de surveillance (un systĂšme Ă©conomique centrĂ© sur la marchandisation des donnĂ©es personnelles dans le but principal de faire du profit). Ces gĂ©ants sans foix ni lois font leurs marchĂ©s pour ajuster leurs primes et nourrir leurs intelligences artificielles, c’est pas JOJO mais c’est la rĂ©alitĂ©.

Pour en revenir Ă  nos moutons, nos ex amoureux, dĂ©jĂ  Ă©prouvĂ©s par leur fin de relation n’ont pas avancĂ© d’un iota sur la recherche de leurs parents.

L’opportunitĂ© de la fuite de donnĂ©es rachetĂ©e par le groupe d’assurance est un Ă©chec. 

Notre ex couple se ressert les coudes et toutes ces Ă©preuves les rapprochent. Ils se rappellent les annĂ©es BIG DATA oĂč tout Ă©tait Ă  inventer. Ils avaient mĂȘme fleurtĂ© en mode DATALOVE, prolongation de ce qu’est l’amour dans la sphĂšre numĂ©rique
.

Vous verrez dans le prochain épisode, comment ces gentilles DATA essaierons de partager avec le grand public leurs trouvailles.

Histoire d’amour et donnĂ©es personnelles (Épisode 1)

Deux personnes se rencontrent pour discuter pendant quelques minutes, et en arriĂšre-plan via Bluetooth, leurs smartphones Ă©changent des identifiants anonymes pour enregistrer qu’ils ont Ă©tĂ© en contact, le soir ils rentrent chez eux, ils ne se reverront certainement jamais, mais leurs datas communiquent. 

datalove
illustration d’appĂąts d’icĂŽnes d’amour en compĂ©tition lors du piratage via hameçonnage

AprĂšs de longs Ă©changes, une histoire d’amour numĂ©rique naĂźt entre leurs donnĂ©es.

Elles/ Ils ou peut ĂȘtre mĂȘme IELLES sont libres, libres de se choisir, de partager, libres de prendre des risques en oubliant l’hygiĂšne numĂ©rique nĂ©cĂ©ssaire


Quelques semaines plus tard, IELLES vivent l’idylle l’électronique et dĂ©cident d’emmĂ©nager ensemble dans le CLOUD.

Par facilité, ils choisissent un CLOUD américain, connu pour ne pas faire trop de GAFFE.

Au bout de quelques mois d’emmĂ©nagement nos amoureux.euses dĂ©cident de se sĂ©parer, ça arrive d’avoir des dĂ©saccords de protocole, une API qui ne s’accorde pas avec l’autres etc


Le problĂšme surgit Ă  ce moment, leurs choix de CLOUD mĂȘme si ils avaient fait GAFFE, les lient Ă  tout jamais.

Ils ne maĂźtrisent plus leurs destinĂ©es, c’est une loi extra-territoriale qui rĂ©git et qui a les pleins pouvoirs sur leurs avenirs.

Comment vont ils faire pour s’en sortir ?

Ils décident de retrouver leurs hÎtes humains pour revenir aux sources et voir comment ils pourront réparer cette erreur.

Île Bermond

L’üle Bermond de Marseille a une origine germanique berthmund, issu de la racine berhaut cĂ©lĂšbre, brillante et mund qui signifie protection. Cette Ăźle appartient Ă  la Famille Bermond depuis 1340. Elle est accrochĂ©e aux Ăźlots de Tiboulen du Frioul est un Ăźlot de 30 mĂštres de hauteur, Ă  l’ouest de l’archipel du Frioul, dans la rade de Marseille. AppelĂ©e un temps l’ülot des pirates, elle a souvent Ă©tait considĂ©rĂ© comme une place stratĂ©gique de la citĂ© phocĂ©enne. 

L’üle a Ă©tĂ© donnĂ©e en Ă©change de Saint Louis qui confisque SommiĂšres Ă  la Famille Bermond qui devient bien de la Couronne, car SommiĂšres est Ă  l’époque la premiĂšre place forte importante en amont d’Aigues-Mortes, donc nĂ©cessaire Ă  la protection du futur port vers l’intĂ©rieur. La grosse tour Bermond, qui domine toujours la ville, tĂ©moigne de l’importance des fortifications. Est-ce par souci de conciliation ? Saint Louis dĂ©dommage  Bermond de SommiĂšres, Aide, Aigues mortes, Anduze, Sauve… par la petite seigneurie du Caylar, dans le diocĂšse de LodĂšve et la toute petite Ăźle bermond en face de Marseille. Carolin et Nicolas

Ăźle des bermond Marseille
Ăźle des bermond Marseille
les Ăźle Marseille
L’Ăźle de nuit
les Ăźles Marseille
Ăźle Bermond au milieu du golfe de Marseille

 

Île Bermond

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