L’identité virtuelle au coeur de la réflexion par Sun et Microsoft

Depuis plus d’un an je réflechis à un moyen de connexion et d’identification cross plate forme.
A chaque fois devoir insérer l’ensemble de ses infos pro ou perso est une réelle peine. De plus c’est un réel frein pour l’acquisition de nouveaux abonnés sur un site.
Cependant l’application qu’il envisage va au delà de toute les prévisions, elle permet le traitement d’informations en cascade et laisse présager de futur action marketing de plus en plus impitoyable.
Un futur qui laisse prédir l’arrivée de 2 géants à l’instar des cartes bancaires (visa et mastercard)
J’envisageais plutôt un outil indépendant gérant uniquement les données et coorconnées pro (cv, photo et formulaire basique) et perso (hobbies, photos…)
Quant à l’identité virtuelle, il en existe au moins 2 celle qui permet de se connecter cf ci dessus et celle que vous offrez aux internautes quand il vous recherche sur l’internet

Mon identité virtuelle dans cette article http://www.pme-multimedia.com/nicolas-bermond/index.php/2005/07/17/2-identite-virtuelle

L’article 01net qui traite du sujet sur l’identité virtuelle

Une carte d’identité virtuelle pour l’internaute

L’objectif premier de Liberty Alliance est de définir des métadonnées standards de description de l’internaute et de les remettre à des organismes tels que le W3C ou l’IETF. L’internaute acceptant les conditions du modèle sera alors muni d’une sorte de carte d’identité virtuelle susceptible de l’accompagner sur le réseau. Un tiers de confiance participant à l’Alliance et choisi par l’internaute – sa banque, par exemple – serait le dépositaire de l’ensemble des informations et les communiquerait toutes ou partie aux autres sites adhérents, selon des règles techniques et déontologiques à établir.

Les deux principes sous-jacents à ce système – l’authentification et le transfert automatique d’informations personnelles – sont en fait les deux facteurs indispensables à l’élaboration de services complexes et personnalisés sur internet : envoi d’alertes, transmission d’un événement en cascade aux sites concernés (l’annulation d’un voyage, par exemple), assemblage de commandes par un prestataire logistique, configurateurs multisites, cross-selling ou co-branding. Les possibilités pour ces services web personnels sont innombrables et particulièrement prometteuses. Toutefois, Liberty Alliance n’en est encore qu’au stade de la déclaration d’intentions et les premières spécifications ne sont pas attendues avant la fin de l’année.

Conçu avec la même ambition, Passport, de Microsoft, est, quant à lui, un produit opérationnel dont Sun valide implicitement la pertinence et le principe, tout en s’y opposant. D’abord très centralisé et intrusif, Passport a progressivement évolué jusqu’à sa récente version 2.0, puis déclinera une version 3.0 en 2002, qui fonctionnera très exactement sur le même principe que Liberty Alliance – celui d’une association d’entreprises signataires d’une charte. Ce modèle n’est pas sans rappeler ceux des organismes gérant les cartes bancaires, Visa ou Mastercard, et leurs promoteurs en espèrent le même succès. Cependant, si l’un et l’autre prônent l’ouverture, la standardisation, et affirment être prêts à accueillir leur rival à bras ouverts, on doute d’un rapprochement dans un futur proche. En fait, il est plus probable que les deux réseaux cohabitent. Certains, comme le site d’enchères eBay, ont d’ailleurs fait le choix prudent de travailler avec les deux parties.

Réglementation : L’épineux problème éthique de l’authentification
Les promoteurs des systèmes d’authentification de type Passport se défendent de vouloir capturer les internautes ou de tirer un bénéfice direct des informations personnelles qui y seraient stockées. Ils s’abritent derrière le fait que les informations du profil sont facultatives et volontairement confiées par l’internaute à un tiers  » neutre « . Néanmoins, de nombreuses questions se posent quant aux types d’informations enregistrées et à leurs règles d’accès, de diffusion ou d’utilisation. Il pourrait, par exemple, être utile, pour acheter des vêtements, de stocker ses mensurations, voire son type de peau pour commander des cosmétiques. Mais on peut facilement imaginer que ces informations soient utilisées pour écarter habilement les consommateurs  » qui ne correspondraient pas à l’image que la marque souhaite véhiculer « . En l’absence d’une  » Cnil mondiale « , et alors que les Etats-Unis et l’Europe divergent sur le sujet, l’intervention du W3C ou de l’IETF, organismes techniques sans aucune autorité morale ni légitimité démocratique, n’apportera qu’une réponse imparfaite à cette problématique.

Nouvel exemple de pack catalogue

Nemo - site catalogue

Nemo : traiteur de nuit à Paris (http://www.23h-6h.com)

La dernière réalisation de Agence PME Multimedia (offre « pack catalogue« ).
Temps de réalisation (de la création des maquettes graphiques à la mise en ligne) : 1 mois.
Positionnement sur la 1ère ou 2ème page de Google, Msn ou Yahoo pour les mots clés suivants : « traiteur de nuit », « 23h-6h », et connexes….
Page rank de 3 mise en ligne début septembre

La presse en parle !
Nemo - article de presse

Salon des micro-entreprises – Palais des Congrès – Paris

PME Multimedia sera présent au Salon des micro-entreprises – Palais des Congrès – Paris

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Pourquoi les sites de business networking ne décolleraient pas en France

Le business networking commence à faire son chemin Viaduc compte 62 900 inscrits, Linked in 3 300 000, open BC attente des chiffres de Yann Mauchamp, 6nergies attente des chiffres de Alain Lefevre.

Au même titre que les blogs le concept intrigue et il est à la mode de parler de son nombre de connexion direct et de son potentiel de rencontre professionnel.
Le profil des inscrits nous dévoile qui est notre Networker type. C’est au départ un dirigeant ou un chef de service, qui via son réseau naturel touche un grand nombre de personne d’influence. On voit dans l’utilisation un moyen d’organiser et de catalyser son réseau afin de plus ou moins exercer du lobbying, de trouver des opportunités communes pour monter un projet.
Par la suite 2 vagues se sont succédées, les commerciaux qui ont vu dans l’outil une manne pour trouver leurs prospects et diffuser leurs offres en masse et les personnes à la recherche d’un emploi qui peuvent directement répondre à une annonce en étant coopté par d’autres personnes.

On pourrait se dire tout fonctionne pour le mieux, et bien non le concept est en partie perverti. Je pense que l’on est au tout début du phénomène en France. Les mentalités ne sont pas prêtes et le concept est parfois perverti. Les sites de business networking ne sont pas une foire à l’embauche et encore moins un nouveau moyen de prospection. Le système aide à fortifier son réseau et faire de nouvelle connaissance. On peut dire que c’est un outil et non un moyen.

De plus la cible importante pour le bon fonctionnement de ce type de site est l’adhésion des cadres moyens or très peu font la démarche. Car en général leur réseau pro reste cantonné à leur collègue de travail ou pire il voue une dévotion complète à leur structure et ne voit pas l’intérêt d’intégrer une démarche de business networking.
Je l’ai vécu dans mon entourage quand je parle d’ouverture par le biais du business networking à des cadres de grosses sociétés ils répondent d’une même voie nous n’en avons aucune utilité car il résonne comme des employés à vie dans leurs entreprises.

Les réseaux existants ne sont pas prêt à partager leurs contacts, en effet les anciens de grandes écoles où les club de business voit dans ces sites une partie de leur fondements et de leur valeur ajouté s’envollaient en fumer.

Enfin la mentalité française dénigre l’argent, les entrepreneurs et tout ce qui touche à la réussite social. Il faut faire ses affaires dans la discretion et surtout ne pas le montrer. Or ces concepts mettent au grand jour vos ambitions et vos projets de réussite.

Aucune certitude que le business networking est la même réussite que les blogs, d’autant plus que les patrons bloggers le voient d’un mauvais œil. Peur de se faire voler la poule aux œufs d’or. Au Etats-Unis le phénomène explose les entreprise internet du domaine sont valorisés à hauteur de l’ambition que les américains mettent dans cette activité.

C’est peut être que les américains investissent dans leur propre carrière et non dans leur avenir dans l’entreprise.